Taille douce des arbres, élagage au naturel
Chez Bellis, la taille douce des arbres est une véritable philosophie : elle doit accompagner l’arbuste dans son développement, sans chercher à le contraindre. Si l’esthétique reste recherchée, nous privilégions avant tout les haies et les arbres libres, poussant selon leur forme naturelle.
Dans tous les cas, nous privilégions les tailles raisonnées : diminution du houppier à son tiers grand maximum, simple suppression du bois mort, taille des branches trop basses.
Lorsque nécessaire, nous intervenons également en élagage sur l’agglomération de la Roche sur Yon et alentours.
Les types de taille douce
sur les arbres
Voici les différents types de taille que nous pouvons pratiquer chez vous :
La taille de formation
Aéré
1 à 3 ans
Forme naturelle
La taille sanitaire
Rajeuni
1 à 3 ans
Forme naturelle
La taille d’éclaircie
Esthétique
1 à 3 ans
Forme naturelle
La taille en têtard
Structuré
7 à 10 ans
Forme érigée puis étalée
La taille en tête de chat
Structuré
2 à 4 ans
Forme étalée
Dans tous les cas, nous déconseillons les tailles trop « sévères ».
Au mieux, elles génèrent des repousses trop nombreuses à la base de la coupe. Si l’objectif consistait à alléger la forme de l’arbre, le résultat escompté sera fortement compromis ! Au pire, elles amènent d’importants risques de contamination : bactéries et champignons tirent profit des plaies béantes laissées par les interventions humaines.
Le cas de la taille douce sur les fruitiers
Abattage des arbres,
« la derniere extremite »
Abattage
L’arbre peut être coupé à sa base s’il est planté en isolé, et que son environnement est exempt de tout obstacle ou construction
Démontage
Si l’arbre est trop proche de bâtiments ou de zones passagères, il est démonté en plusieurs morceaux à partir du haut, des cordes sécurisent les tronçons en les retenant.
En général, nous ne réaliserons pas de coupes à blanc sur des sujets de plus de 15 ans.
Nous respectons trop les arbres pour les détruire « gratuitement ». Si votre arbre vous cause des désagréments, mais que vous pensez, comme nous, qu’il a le droit de vivre : sachez que nous avons plein de solutions pour limiter sa gêne.
Conserver les fonctions écologiques de l’arbre : les alternatives a l’abattage
Partant de ce constat, il est évident que l’abattage n’est pas toujours la solution. A partir du moment où ses racines sont intactes, l’arbre en fin de vie peut encore vivre quelques belles années
Chez Bellis, nous avons étudié les phases de la sénescence, pour adapter des solutions à chaque phase :
- Conservation de l’arbre, avec l’élagage des parties attaquées et consolidation via haubanage des branches les plus affaiblies.
- Rajeunissement de l’arbre avec un étêtage ou un recépage en fonction de l’essence
- Accompagnement vers la fin de vie : transformation en arbre biologique (Arbre mort dont la résistance mécanique lui permet de se conserver intact), ou bien en chandelle (Tronc dressé seul, le risque de rupture de branches a été éliminé). On peut ici prolonger la durée de vie de 4 à 20 ans selon l’essence.